Présentation du projet
La Workforce Disclosure Initiative (WDI) améliore la qualité des emplois dans les opérations et les chaînes d’approvisionnement des multinationales en œuvrant pour une plus grande transparence et une plus forte responsabilité des entreprises, soutenant ainsi l’ODD8 : un travail décent pour tous. Créée en 2016 par l’ONG ShareAction et soutenue par une coalition internationale d’investisseurs, la WDI promeut la diffusion d’indicateurs essentiels relatifs aux conditions de travail et travaille avec les entreprises pour améliorer leur gouvernance et leurs pratiques dans des domaines tels que la rémunération, le dialogue social, les droits humains, la diversité et l’inclusion. La WDI définit de nouvelles normes en matière de transparence des entreprises s’agissant des informations concernant les travailleurs. En 2020, 141 sociétés, qui comptent 12 millions de travailleurs employés directement, ont rendu des comptes à l’Initiative.
La WDI encourage les entreprises à aller plus loin dans la transparence et la normalisation s’agissant des problématiques liées aux travailleurs. Elle agit comme un influenceur auprès des organismes normatifs, des cadres de reporting et des organisations de référence. L’étendue de l’étude de la WDI (tant des problématiques étudiées que des secteurs concernés) et la qualité des informations obtenues sont importantes, précieuses et uniques en leur genre. Elles reposent sur les contributions d’un groupe d’acteurs très divers, qui rassemble des investisseurs, des syndicats, des experts en affaires et en droits humains ainsi que des sociétés. Les autres cadres existants mettent la barre trop bas.
Présentation de l'organisation
La vision de ShareAction est la mise en place d’un système d’investissement mondial qui use de son pouvoir pour créer des sociétés vertes, justes et saines, et qui prennent leurs responsabilités en termes d’impact sur les humains et la planète. ShareAction œuvre en faveur du changement des politiques et de la gouvernance pour encourager de meilleurs comportements chez les investisseurs. Elle mobilise ces derniers dans la contestation des pratiques d’entreprise non-durables, tout cela dans le but de libérer tout le potentiel positif du système d’investissement et de mener de véritables changements systémiques.Son fonctionnement
Nombreux sont les acteurs qui se sont investis dans tout ce qui touche aux normes pour la transparence et aux rapports de développement durable des entreprises. La pression est forte pour une plus grande convergence et pour une simplification dans tout ce méli-mélo d’entités qui constitue un véritable obstacle au progrès pour les sociétés, les investisseurs et les régulateurs. Toutefois, le débat reste dominé par les enjeux environnementaux, notamment climatiques. Les efforts pour résoudre les problématiques sociales, en particulier les normes relatives aux travailleurs, restent inadaptés.La WDI encourage les entreprises à aller plus loin dans la transparence et la normalisation s’agissant des problématiques liées aux travailleurs. Elle agit comme un influenceur auprès des organismes normatifs, des cadres de reporting et des organisations de référence. L’étendue de l’étude de la WDI (tant des problématiques étudiées que des secteurs concernés) et la qualité des informations obtenues sont importantes, précieuses et uniques en leur genre. Elles reposent sur les contributions d’un groupe d’acteurs très divers, qui rassemble des investisseurs, des syndicats, des experts en affaires et en droits humains ainsi que des sociétés. Les autres cadres existants mettent la barre trop bas.